Grande Muraille de Chine : Une « peau vivante » agit comme bouclier naturel

Des recherches novatrices ont récemment mis en évidence la fonction capitale d’une fine « peau vivante », un agrégat biologique complexe recouvrant les vastes étendues de la Grande Muraille de Chine, laquelle ne se contente pas d’être une simple couche superficielle mais agit comme un bouclier protecteur naturel d’une efficacité surprenante. Cette biosurface ténue, composée de microorganismes et d’algues, confère une résilience accrue à l’ancienne structure en pierre, atténuant significativement l’impact des intempéries, l’érosion et les dégradations liées aux cycles climatiques, contribuant ainsi de manière essentielle à la conservation millénaire de ce patrimoine architectural emblématique.