Tanzanie : Le règne de Samia Suluhu Hassan bascule de l’ouverture à la répression
L‘administration de la présidente tanzanienne Samia Suluhu Hassan, initialement perçue comme un symbole de libéralisation politique, est désormais confrontée à des critiques grandissantes, certains observateurs déplorant une dérive manifeste vers un régime plus restrictif et autoritaire, éloigné des promesses d’ouverture initiales. Cette transition regrettable a culminé lors de l’élection présidentielle du 29 octobre, où le pays a été le théâtre d’une répression d’une ampleur inédite depuis son accession à l’indépendance en 1961, entraînant malheureusement la perte de centaines, voire des milliers, de vies tanzaniennes en marge du scrutin, selon diverses sources.
